LA LUMIERE

UNE ONDE OU UNE PARTICULE?

Sur un mur: Deux grands trous par lesquels passent des balles de tennis qui laissent la marque de leur impact sur un second mur qui joue le rôle de réceptacle.

Le nombre d'impacts est maximum sur la partie de l'écran située à égale distance des deux trous et diminue lorsqu'on s'éloigne de ce point.

Le nombre d'impact peut être décrit statistiquement

A l'aide d'une courbe en forme de cloche.

Refaisons la même expérience avec des électrons: Un flux d'électrons est envoyé vers deux trous (fentes). Ces électrons sont recueillis derrière sur un écran. Après un grand nombre d'impact, la figure obtenue est très différente de celle obtenue avec les balles de tennis.

On obtient une suite de franges d'interférences;

Pourtant les électrons sont des "grains" de matière devrait reproduire la figure en forme de cloche obtenue par le tennisman.

Ces franges dites d'interférence ne peuvent être dues qu'à une onde.

On pourrait diminuer le flux des électrons et faire qu'ils ne s'échappent que les uns après les autres et non en même temps.

Les électrons s'incrustent bien dans l'écran, mais après un grand nombre d'impact on obtient l'image d'une figure d'interférence. Comment nier le comportement ondulatoire de l'électron?

Pour lever cette dualité entre onde et particule on parle de "quanton".

Pour comprendre la figure d'interférence , il faut admettre que le quanton bien que détectable par son impact sur l'écran, passe par deux trous, comme le fait une onde étalée dans l'espace. L'onde est localisée de ce fait en différents endroits de l'espace c'est à dire délocalisée.

On rejoint alors la conception de la mécanique quantique. On dit qu'ils occupent une superposition de deux états quantiques de localisation. Lorsqu'un quanton se trouve dans une superposition d'états quantiques il est en fait dans son "état naturel" dans son "monde quantique".

Lorsque nous effectuons une mesure nous l'obligeons de se "décider". Nous le "projetons" dans un unique état . Cet état est propre à la mesure et accessible à notre sensibilité instrumentale.

@ Dualité onde - particule:

Le quanton n'est ni une onde ni une particule.

Il est défini par sa longueur d'onde l ; le quanton est aussi défini comme une particule (corpuscule) de quantité de mouvement p = m.v

Ces deux aspects onde - particule sont reliés par la relation de Louis de Broglie p = h / l

De par sa nature quantique , on ne peut mesurer simultanément la vitesse et la position d'une particule et un flou subsiste sur leurs mesures simultanées.

La théorie électromagnétique de Maxwell rend compte de la propagation des ondes, des expériences d'interférences et de diffraction.

La lumière peut être considérée comme une onde électromagnétique de fréquence n et de longueur d'onde l = c / n

A une onde électromagnétique en général et lumineuse en particulier sont associées des vibrations transversale et longitudinale (champ électrique - champ électromagnétique perpendiculaires à la direction de propagation de l'onde électromagnétique ).

La lumière est une infime partie d'un vaste ensemble constituant les ondes électromagnétiques.

Rayon g - Rayon X - U.Violet - VISIBLE - I Rouge - Micro onde - Radio TV - Téléphone

L'effet corpusculaire de la lumière est mis en évidence par l'effet photoélectrique:

Sur une plaque de césium on envoie un faisceau de lumière. L'énergie du faisceau lumineux permet d'expulser des électrons du métal de césium.

La lumière contient donc des grains de matières - les PHOTONS - qui viennent frapper sur le métal pour en extraire les électrons. Cette expérience met en évidence l'effet photoélectrique. (les photons de la lumière expulsent les électrons de la matière).

Il faut donc admettre ces deux aspects ondulatoire et corpusculaire ; ce sont deux facettes complémentaires d'une même réalité physique.

Et si nous passions à la lumière décrite dans Bérechit: Les luminaires (soleil et lune) ont été créés le 4° jour de la création. Alors comment expliquer cette lumière du premier jour.?

Cette lumière s'est "habillée" s'est matérialisée dans le soleil et la lune.

La lumière du premier jour de la création est différente de celle que dispensera au 4° jour le soleil. Le rapport entre ces deux lumières pourrait être comparer à la matérialisation de l'énergie en matière.

La lumière originelle est purement spirituelle.

Rabbi Elazar : "Cette lumière créée le premier jour permettait de scruter d'un bout à l'autre du monde.

Adam Harichone avait pu voir toutes les générations: Lorsqu'il arriva à David , il vit qu'il ne pouvait pas vivre et lui donna 70 ans de sa vie. De ce fait Adam termina sa vie à 930 ans , au lieu de 1000 ans et David vécut 70 ans.

Rabbi Elazar disait: Dans la génération du déluge et de la génération de la dispersion (palaga) D' a vu que leurs actions étant corrompus Il a retiré cette lumière pour la mettre en réserve pour les tsadikim dans les temps avenir.

 

 

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